C’est inadmissible ! 👇
Selon le premier ministre hongrois, tous les problèmes que son gouvernement a créés sont la faute, en vrac, des réfugié·es, des personnes LGBTQI et de l’Union européenne. Il fabrique de la peur pour détourner l’attention de la pagaille qu’il est en train de mettre dans en Hongrie. Il se donne des airs pour paraître fort, mais, en réalité, il est faible.
En Hongrie, c’est corruption à tous les étages. Orbán et ses amis se remplissent les poches avec l’argent des contribuables en construisant des stades qui restent vides et des lignes de train qui ne vont nulle part.
Les services sociaux craquent de toute part. Dans certains hôpitaux hongrois, les patient·es doivent apporter leur propre papier toilette. Les enseignant·es sont sous-payé·es et n’ont pas la liberté d’enseigner ce qu’elles et ils veulent.
L’économie hongroise est de plus en plus dépendante de la Russie. À force de tout faire pour rester dans les petits papiers de Poutine, Orbán met en danger la sécurité de l’Union européenne et donc la nôtre.
Les droits des femmes reculent, les uns après les autres. Pour Orbán, les femmes ne font plus assez d’enfants parce qu’elles font trop d’études. Il a donc réduit leurs droits de choisir ce qu’elles veulent faire de leur corps.
Partout en Europe, et dans le reste du monde, l’extrême droite alimente la haine. La haine envers toutes celles et tous ceux qui sont différents d’eux.
Il est temps de nous battre pour notre liberté d’être qui nous sommes. C’est à nous de façonner la société dans laquelle nous voulons vivre. Tout le monde doit pouvoir se loger décemment, faire garder ses enfants à un prix raisonnable pour pouvoir travailler, recevoir des soins de qualités, etc. Et pour cela, tout le monde doit pouvoir être gouverné par des gens qui prennent soin de celles et ceux qui sont dans le besoin. C’est là-dessus que nous devons nous concentrer.
Avec la campagne démocrates contre autocrates, nous voulons construire une communauté de gens qui sont prêts à dénoncer les manœuvres de l’extrême droite. Nous voulons interpeller les personnalités politiques qui travaillent avec l’extrême droite et qui reprennent sa rhétorique extrémiste.
Terry Reintke et Bas Eickhout
Co-présidents Groupe Verts/ALE au Parlement européen
Mélissa Camara 🇫🇷 Daniel Freund 🇩🇪 Ingazio Marino 🇮🇹 Sara Matthieu 🇧🇪 Cristina Guarda 🇮🇹 Leoluca Orlando 🇮🇹 Lena Schilling 🇦🇹 Benedetta Scuderi 🇮🇹 Kim van Sparrentak 🇳🇱 Tineke Strik 🇳🇱
Membres des Verts/ALE au Parlement européen